Presque plus de passages sur le Col. De moins en moins de visites malgré la météo idyllique et la neige encore bonne. Les randonneurs se font rares et leurs visites sont des plus brèves. Une tasse de thé prise debout dans le couloir.
La communauté et la maisonnée continuent leur vie, mais une vie différente. Les chambres sont vides, on fait les à-fonds avec avance cette année, puisqu’ils sont faits normalement en mai. Plus d’intériorité, aussi. Une sorte d’appel à retrouver l’essentiel.
Bénédicte Rebord