Un Z infiniment répété tracé dans la neige. Des lignes droites et des angles aigus qui se succèdent les uns aux autres. Parsemé de minuscules silhouettes emmitouflées qui, presque imperceptiblement, montent peu à peu en direction du ciel azur. La montée vers Fourchon si elle n’a rien d’un farniente, n’en est pas moins un hymne au soleil.
Bénédicte Rebord